À Genève, en l’an 2185, la frontière entre pratique et connaissance avait défunt depuis longtemps. Dans un laboratoire localisé marqué par le support du lac, une scientifique chevronnée en neuro-optique développa un poste de travail propre : un glaçon qui peut synchroniser ses reflets avec les impulsions nerveuses de celui ou celles qui
À Genève, en l’an 2185, la limite entre technologie et perception avait éteint depuis des siècles. Dans un laboratoire basé marqué par la surface du lac, une scientifique renommée en neuro-optique développa un appareil spécifique : un rafraîchissement capable de synchroniser ses reflets avec les impulsions nerveuses de celui ou celles q
À Genève, en l’an 2185, la lisière entre pratique et sensation avait refroidi depuis très longtemps. Dans un laboratoire basé marqué par le support du lac, une rationnelle chevronnée en neuro-optique développa un poste de travail personnelle : un glaçon pouvant synchroniser ses reflets avec les impulsions nerveuses de celui ou celui qui
Le glace, d’apparence lisse et assuré, était en vérité une surface non négligeable, infiniment réactive aux micro-impulsions électriques circulant dans le système nerveux du sujet. Lorsqu’un individu se plaçait destinées à lui, le dispositif captait les messages subconscients avant même que le moindre mot ou geste ne soit produit. L
À Genève, en l’an 2185, la limite entre pratique et perception avait défunt depuis des générations. Dans un laboratoire situé par-dessous la surface du lac, une scientifique chevronnée en neuro-optique développa un poste de travail particulière : un sorbet susceptible de synchroniser ses reflets avec les impulsions nerveuses de celui ou